College Druidique des Gaules

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Héritage des Atlantes

 

Ce fut chez les Atlantes que se révélèrent les «Instructeurs» du Monde, parmi les êtres humains parvenu au stade physique actuel de leur évolution. Ces Maîtres enseignèrent le travail des métaux et la culture des plantes en harmonie avec les ondes cosmiques, établirent les lois de corrélation entre les astres, les couleurs, les animaux, les plantes, les pierres, les métaux. La civilisation humaine en naquit. 

 

Malheureusement, comme il arrive toujours, des esprits insuffisamment évolués voulurent utiliser ce savoir sans connaître les lois que, dans leur grande sagesse, les Instructeurs avait pris soin de dissimuler aux êtres superficiels, incapables d’en user avec fruit. Pour eux, l’hermétisme devint de la magie, celle-ci ayant pour seul but de capter les âmes d’entités in évoluées, certes, supérieures sur quelques points aux humains, pour les forcer à accomplir des prodiges à leur seul profit.

 

Or, qu’arrive-t-il inévitablement en pareil cas dans le domaine de l’électricité par exemple, fluide par excellence, lorsqu’on veut en obtenir plus que les moyens matériels disponibles peuvent en fournir ? survoltage ! explosion ! Ainsi, de catastrophes en cataclysmes, l’Atlantide disparut sous les eaux de ce qui fut le déluge historique, le dernier dont l’humanité ait gardé le souvenir, il y a 11 ou 12 000 ans.

 

Les habitants blancs des régions orientales de l’Atlantide, celles faisant face à l’Europe actuelle, purent, en partie, s’échapper et abordèrent le continent vers Belle-île en mer, alors rattachée au continent au niveau de l’actuel golfe du Morbihan. D’autres groupes touchèrent les côtes de l’Irlande et de la Cornouaille britannique. Les régions plus au nord ne s’effritèrent que longtemps plus tard sous la poussée des eaux qui, ayant détruit les barrages rocheux probablement situés à l’estuaire de la Seine (se trouvant alors, à cette époque, entre le cap Lizard à  l’extrémité sud-ouest de la Cornouaille britannique et la pointe Nord-ouest du pays de Léon dans le Finistère*) envahirent les vallées de la Seine et de la Somme, se frayèrent un chemin entre les falaises de Douvres et de Boulogne s/mer et recouvrirent le plaine du Nord et l’embouchure de la Tamise.

 

Sur le continent européen encore peuplé d’un embryon d’humanité très primitive, les Celtes ou Anciens, venaient de s’établir. Leurs Guides Spirituels ou leurs Sages commencèrent par délimiter les territoires qu’ils occupaient pour éviter toutes contestations avec les peuples autochtones qui avaient déjà commencé à dresser les premiers mégalithes. Ils intégrèrent facilement parmi eux les rescapés du cataclysme atlantéen et assimilèrent leur prodigieuse science sauvée du désastre.

Ils déterminèrent les courants telluriques qui sillonnaient le sol et installèrent les premières cités aux centres nerveux qui d’où rayonnent, en divers sens, ces «trains» d’ondes assez semblables aux réseaux des veines que l’on observe sur la main. Puis ils reconnurent les forces qui radient, le jour de la terre vers l’infini du ciel, et la nuit, des foyers stellaires vers lE sol terrestre.

 

Et les Sages, ayant reconnu les éléments de ces forces, choisirent d’adopter pour symboles de leurs interpénétrations sur la terre, le DERU, le chêne, et rirent le nom de DRUIDES, les hommes du chêne. Le Chêne est, en effet, l’arbre dont l’élément vivant, stable et durable, a, sur notre sol occidental, la plus grande force magnétique : émetteur d’ondes telluriques, fortifiantes et calmantes, capteur d’ondes cosmiques qu’il transforme en énergie durant la nuit.

 

Les Druides firent ensuite, eux aussi, ériger des mégalithes sur les lieux qu’ils estimaient «chargés», les dolmens ou autels tabulaires, furent installés à la fourche formée par 2 ou 3 courants telluriques, tandis que les menhirs ou pierres levées jouaient, le plus souvent,  le rôle de relais analogues à des transformateurs d’énergie électrique plantés dans ces courants. La présence de ces mégalithes forcent encore, aujourd’hui, l’admiration de leurs nombreux visiteurs qui, malheureusement, n’en comprennent plus la fonction véritable et se contentent de constater la disproportion des efforts supposés déployés pour déplacer leur masses avec l’incompréhensible inutilité de leur présence.

 

 

 

 

* selon certains chercheurs et géographes, un fleuve aurait jadis coulé dans la Manche, entre la France et l’Angleterre, le Titus, dans lequel se jetait peut-être des fleuves comme la Seine, ou la Somme, qui n’étaient alors que ses affluents. Il ne faut pas oublier que la terre est perpétuellement en mouvement et que la baie du Mont St-Michel, par exemple, ne s’est formée qu’à l’époque de Charlemagne, après l‘effondrement dans les flots d’une gigantesque forêt, la forêt de Sissy.

 

 



17/08/2018
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