Quand les découvertes de la médecine confirment celle des Druides
Il ne faudrait surtout pas, comme on l’a fait bien trop souvent, considérer les Druides des temps modernes comme d’incurables passéistes ou de gentils huluberlus. Certes, leurs rites qu’ils font remonter à la destruction de l’Atlantide, ont de quoi surprendre en notre siècle. Ils sont pourtant étonnamment significatifs et certaines de leurs croyances s’accordent de manière étrangère avec les découvertes les plus inattendues de la science. Tout se passe comme s’ils étaient les ultimes dépositaires d’un savoir très lointain, à demi perdu même pour les initiés. Une sorte de connaissance globale du cosmos et de ses lois les plus secrètes dans lesquelles s’intègrent mystérieusement leurs cérémonies, notamment celle de la Modra Necht.
Examinons de la manière la plus prosaïque possible, le simple problème du Gui en tant que végétal digne de vénération. La médecine à longtemps déconsidéré les rites thérapeutiques des dames ovates du celtisme. On a prétendu que le gui devait davantage ses vertus à la croyance qu’à des propriétés spécifiques. Ainsi, son administration contre la stérilité ou pour combattre la sénilité. Des récentes découvertes ont montré que la plante sacrée des Druides, assurait une meilleure perméabilité des artères, luttait contre l’artériosclérose, les accidents du retour d’âge et les états hémorragiques comme les pertes utérines bien souvent responsables des problèmes d’enfantement chez la femme. Mieux, des chercheurs, du temps de l’ex-URSS, auraient isolé dans ce parasite du chêne et du pommier, un principe qui pourrait être utilisé dans des cures de jouvence. L’école de Kiev, spécialiste d’une relative immortalité physique, et les immémoriaux enseignements des Druides se rejoindraient donc.
C’est cependant la conception de Gaéa, la terre, qui mérite que les Druides y montrent leur attachement. La terre explique un grand maître des Druides de Gaule, possède un corps psychique et un corps physique dotés d’organes moteurs. Un système osseux (les masses rocheuses), un système sanguin (les mers et les fleuves) et nerveux (les courants magnétiques.) Le tellurisme est la science secrète de cette vie mystérieuse et cosmique de notre planète. Les chênes émettent des ondes telluriques comme ils captent d’autres ondes cosmiques qu’ils restituent à la faveur de la nuit à certaines dates. Les premières cités celtiques furent installées aux centres nerveux de ces courants telluriques, menhirs et dolmens furent implantés à ces sections d’or. Ils étaient à la fois des relais, des transformateurs d’énergie et, bien entendu, de fantastiques catalyseurs de forces cachées du sol.
L’Atlantide dont viennent toutes ces connaissances plus vieilles que toute l’histoire occidentale, a été détruite à cause d’une mauvaise utilisation de ces notions. Aujourd’hui, par leurs cérémonies des solstices, les Druides et leurs adeptes veillent à la bonne conservation du grand équilibre terrestre et cosmique. Ils ont de plus en plus de mal à y parvenir. La civilisation moderne a rompu toutes les substructures telluro-magnétiques de la planète. C’est, sous nos pieds, l’anarchie des forces de Gaéa. Les sages du celtisme n’ignorent pas que des catastrophes se préparent à secouer notre terre, outragée par les hommes dans ses assises intimes. L’Atlantide n’a-t-elle pas été détruite par semblables imprudences ?
Depuis les récentes recherches scientifiques il n’est plus possible de prendre à la légère ce genre de théories. A partir de calculs et d’observations d’une grande rigueur, un géophysicien de l’université du New Jersey, Morton Chevish, a en effet montré que l’influence mystérieuse des champs de menhirs et de dolmens, n’était pas qu’une simple légende. Ces pierres étrangement levées agissent sur la croissance des plantes, sur la santé des hommes et des animaux qui y vivent à proximité. Elles perturbent fortement la radioactivité environnante.
Le savant américain a prouvé qu’un « magnétisme » très particulier s’exerçait à la jonction des lignes de forces qu’elles ponctuaient.
En ce début du XXI° siècle et le millénarisme qui caractérise notre époque, on parle beaucoup de catastrophes et d’illuminations prophétiques. Peut-être la principale d’entre ces prises de conscience fondamentales viendra-t-elle du Druidisme. Ne sommes-nous pas entrés dans l’ère du Verseau, celle de la « révélation » ?
Extrait d’un article de Jean-Louis DEGAUDENZI à propos d’une cérémonie de la Modra Necht à Drancy chez Paul Bouchet Grand’Druide /I\ Bod Koad
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